dais

Les dais qui coiffent les statues de l’intérieur du portail, fouillés à l’extrême, aux multiples entrelacs, rappellent ce qu’on a appelé le gothique flamboyant. En revanche, ceux qui se trouvent au-dessus des deux statues qui débordent des deux contreforts de la façade, temples et colonnes en réduction, rappellent la période de la Renaissance.

Ces dais pourraient à eux seuls situer la date de construction de l’église Saint-Martin, entre deux périodes bien différentes de l’architecture monumentale.

dalles funéraires

On a conservé, lors du dernier pavage de l’église quelques fragments de dalles funéraires.

L’un d’eux, placé sous le bénitier, porte un nom Messire Jehan Guillaume. Sur celui qui se trouve juste) l’entrée, devant la petite porte, on peut lire en février, jour anniversaire, l’an mil cinq cent quarante.

Avec quelques autres témoins disséminés dans le bas côté nord et, devant le chœur, l’emplacement bien dessiné des sépultures de Jean Colet et des ses parents.

On peut se demander pourquoi ces dernières ne portent aucune inscription ; la raison en est que les pierres d’origine, en mauvais état, ont probablement été remplacées lors du pavage de l’église en 1748.

Ne nous restent donc des dalles funéraires d’antan que les fragments cités ci-dessus.

damier champenois

On appelle ainsi l’appareillage de craie et briques tel qu’on peut le voir sur la tourelle en encorbellement, à l’arrière du manoir.

danse

 - Le 26 août 1870, après la déclaration de guerre avec la Prusse, le maire    vu l’état d’anxiété et de deuil dans lequel se trouve le pays condamne et interdit tous signes de réjouissances tels que jeux ou danses.

- On dansait à Rumilly, la polka, la scottish, la mazurka, le quadrille, la sicilienne, la gigue, la seuyote

Paroles de la polka : talon, pointe et on tourne.

C’est la reine d’Angleterre

Qui s’est foutue par terre

En dansant la polka

Au bal de l’Opéra

Napoléon premier

Va pour la ramasser

Sa culotte craqua

Et la lune se montra   .

Le quadrille pratiqué à Rumilly avait pour titre Le jeune artiste.

Dare Claude

Ancien maire de Troyes, seigneur de la Motte, il est au XVI ème siècle, en procès de séparation de biens avec sa femme.

Son fief est saisi et attribué à Jean Mouchot.

Dart Alexandre

Alexandre Dart est nommé maire en avril 1901 ; il le restera jusqu’en 1919 avec deux interruptions, de 1906 à 1908 pendant lesquelles années il sera remplacé par Julien Saget adjoint. Absent encore pendant 3 mois en 1912.

Si Alexandre Dart démissionne le 24 juin 1906, c’est qu’il s’estime lésé par le tracé du nouveau chemin qui va de Rumilly à Vaudes ; on a voulu la route rectiligne et, de ce fait elle empiète sur les propriétés de ce maire cultivateur.

daube

Recette de la daube. Garnir le fond du pot avec du lard. Ajouter le bœuf coupé menu ; une ou deux feuilles de laurier, du poivre, du sel, une branche de thym, une goutte d’eau. Laisser mijoter devant l’âtre.

Daunay Jean

Il succède à Henri Mothré, instituteur, fait classe pendant 15 années au manoir, entre au groupe scolaire en 1957 où il exerce jusqu’en 1959.

Élu maire en 1977, il succède à Marcel Singoth. Il se retire en 1995.

Daunay-Cartier France

Arrive à Rumilly en 1941 et prend en charge la classe des petits à la suite de Mme Mothré. Jusqu’en 1944.

dauphins

Des dauphins sont sculptés sur plusieurs poutres du manoir où ils alternent avec des cartouches vides de leurs fleurs de lys ?

Davène Dany

Instituteur à Rumilly de 1979 à 1989.

De Barral Claude

C’est Mgr De Barral, évêque de Troyes, qui nomme Savinien François Navarre curé de Rumilly, en février 1779.

Déboschée (croix…)

Cette croix, auparavant en limite de forêt, s’en trouva probablement exclue à la suite d’un essartage, d’où le nom de déboschée ou hors du bois.

Existait à quelque distance de la route de Montceaux, non loin de la limite entre forêt communale et forêt domaniale, un lieudit les Essarts qui pourrait justifier cette opinion.

La confusion avec le participe « débauché » a fait que cette croix a été débaptisée et nommée : croix saint Barthélemy.

1693 - la croix Desbauchez  

1768 - un demi arpent vers la croix Débochée… tenant à la forêt.

Debure Claude

Il occupe le fauteuil de maire en 1792 pendant quelques mois seulement. Il succède à étienne Tisserand et précède Joseph Vuibert.

Debure Vincent

Se signale an l’an III de la République. Il lui est fait défense dorénavant de s’enivrer, de troubler dans aucun cas le culte ni de prendre ni habits ni qualité.

Probablement s’amusait-il à revêtir surplis et chasuble lorsqu’il était pris de boisson.

Degand Denis

Le curé Degand assiste son confrère Cheurlin, paralytique, avant de le remplacer en 1828. Il décède en 1865 et est enterré devant l’église, là où était la croix du cimetière, là où furent précédemment inhumés les curés Tallon et Ravier.

Sur sa pierre tombale on pouvait lire : Ici repose, en l’attente de la bienheureuse résurrection, Denis Degand, prêtre, curé de cette paroisse, 40 ans, depuis son ordination en 1823 jusqu’à son décès 8 avril 1865. Il était simple et droit de cœur. Qu’il repose en paix.

De Gand étienne

Il est le fils de Jean de Gand. Installé au château de la Motte depuis 1586, il s’y marie en 1594 avec Claude de Richebourg.

Il déclare en 1627 tenir du château de Praslin, son fief de Rumilly.

Sa fille Anne épouse en 1618, Jean Regnard capitaine des bois et forêts de la baronnie de Maraye. Il meurt en 1639.

De Gand Jehan

Premier seigneur connu du château de la Motte, une mothe entourée de fossés pleins d’eau, en laquelle a maison, grange, columbier et aultres édifices.

Il est maître forestier et garde des eaux et forêts à Bar-sur-Seine. On peut le voir sur un panneau du vitrail de la chapelle Saint-Claude avec Bernarde Lebégat sa femme.

Ses armes sont d’azur à la bordure d’or, au chef d’argent chargé de trois merlettes de sable.

De Gand Pierre

Fils d’étienne, il hérite du titre de seigneur de la Motte-Rumilly et partage avec ses deux sœurs le domaine et les dettes laissées par leur père. En 1687, ce domaine est saisi et adjugé au profit de Noël de Buchères.

Delaine François

Nommé maire par arrêté du préfet, il entre en fonctions en 1835, succédant à Victor Paillot Deloynes. C’est Romain Guyot qui, en 1837, lui succède à la mairie.

dent de lait

Aujourd’hui on met encore sous l’oreiller du bébé, sa première dent de lait lorsqu’elle est tombée. A son réveil, le petit enfant trouve à la place de sa dent, un bonbon ou une piécette.

On glissait autrefois la dent derrière la plaque de cheminée. En même temps on devait dire 5 fois de suite ; grillo, grillo, mange ma dent et tu m’en rendras une en argent. Grâce à ce geste et à la comptine, la nouvelle dent devait percer sans difficulté.

déportés

Ont été déportés lors de la guerre 1939-1945 ; Léa Renaud née Schwartz, à Ravensbruck, André Gaugué, à Auschwitz et autres camps.

députés

Voir : États   généraux.

dernier enfant

Voir : mariage

déserteurs

 - En l’an II, la commune de Rumilly est requise de loger 3 déserteurs. Elle utilise provisoirement pour cela la maison d’école ; elle fournit matelas, draps et pain.

Ces hommes donnent bien des soucis au maire J.B. Vuibert qui fait pour eux, toutes les avances d’argent. De plus, il se voit obligé d’en supporter 4 de plus et subir le scandale qu’ils causent dans la commune, notamment après avoir bu.

 - Un autre militaire, beaucoup plus pacifique celui-là, originaire de Pest en Hongrie, déserteur des armées autrichiennes, s’installe à Rumilly en 1814. Il y fonde un foyer. Il s’agit de Joseph Singoth.

Dessain Jean Victor

Il fait apposer les scellés au château de la Motte en 1757, après le décès d’Edme Jolly son beau-père qui laissait 3 filles dont 2 mineures.

Jacques Paillot de Montabert, son gendre, lui succédera à la tête du domaine.

destruction

 - Rumilly l’ancien fut presque complètement détruit lors de la guerre de Cent Ans. Il se trouvait dans la plaine, proche le grand chemin.  Les gens de guerre ne se sont pas privés d’en incendier les maisons et d’en rançonner les habitants.

Alors, ceux-ci ont quitté progressivement leurs anciennes demeures pour se regrouper à l’orée de la forêt, en un lieu moins exposé aux visites des troupes passantes.

 - En 1793, l’ordre est donné de détruire les bustes, écussons et autre signes qui rappellent la féodalité. C’est ainsi qu’auraient pu être martelées certaines fleurs de lys, au-dessus de la porte d’entrée du manoir, celles des cheminées et aussi celles de l’écusson au portail de l’église.

On explique en particulier l’absence de médaillons au centre de trois cheminées du manoir par le fait qu’elle devaient présenter, elles aussi, les armes royales aux trois fleurs de lis.

Il faut cependant savoir que Fichot a dessiné en 1850 certaines de ces croix et fleurs de lys. Ne faudrait-il pas dater leur destruction de 1906; à l’époque où le manoir devenait mairie-école, tout juste après la loi de 1905 qui entérinait la Séparation des églises et de la République ?

Détroit (gué du…)

 En 1614 Nicolas Méresse, procureur fiscal, a laissé par testament un demi arpent de pré lieudit le gué du Détroit… d’un bout à la rivière, d’autre sur le pré Amont.

Dévaud Paul

Il a été curé de Rumilly de 1951 à 1959 et résidait à Fouchères. C’est lui qui a mené à bien les cérémonies du quatrième centenaire de l’église en 1952.

devise

La devise de Jean Colet était : Souvent à conseil, obtenue par l’anagramme des lettres de son nom (Johanes Coletus). On peut la lire sur deux verrières de l’église, l’une au transept sud, l’autre dans la chapelle de la Vierge. On la devine aussi sur un vitrail de la sacristie.

dévouement

En l’an II, jugement mitigé des autorités sur les agents et adjoints nommés par le peuple dans les assemblées : s’il est de fait que la majeure partie a plus de dévouement au gouvernement actuel que d’aptitude à remplir leurs fonctions, il convient de les laisser en place, étant difficile pour les remplacer, d’en trouver de meilleurs.

diarrhée

Les fruits de l’éproutié ou cormier sont plus efficaces que ceux du cognassier contre la diarrhée.

Dieu Nicolas

Maître d’école à Rumilly, de 1668 à 1670.

digues

De tous temps des digues ont été élevées, en particulier sur les rives de la fausse rivière afin de contenir les eaux pendant la période des crues de l’Hozain.

La dernière a été montée à la main, derrière l’atelier de mécanique agricole (ancien Moulin du Bas) après les inondations de 1977.

dîme

 - 1707 - Les grosses dîmes de Rumilly appartiennent à l’abbé de Molesme. Elles se livrent à la 17ème gerbe. On peut les évaluer, année commune, à 500 boisseaux de froment, 140 ou 150 boisseaux de méteil et seigle et 600 boisseaux d’avoine, le tout à la mesure de Bar-sur-Seine pesant communément 40 livres le boisseau de froment   .

 - 1222 Adèle donne aux abbés de Molesme, la dîme sur le chanvre.

 - 1595 Le curé de Rumilly se plaint de ne plus recevoir les droits accoutumés ; les laboureurs et le menu peuple lui refusent la dîme.

 - Les dîmes novales, en 1790 ont rapporté au curé Navarre 80 boisseaux de froment, 140 d’avoine, 3 muids de vin (environ 100 l), du méteil, de l’orge, des pois, vesces, lentilles, de la navette et du chanvre, le tout estimé 642 livres, de laquelle recette il faut décompter les salaires et la nourriture de deux personnes pendant 2 mois, chargées de lever ces dîmes ainsi que le prix des charrois et du battage des céréales.

 - La tradition veut que la ferme d’Henry’s ville ait été autrefois dénommée la Grange aux Dîmes ou grange dîmeresse.

 - Des statuts synodaux publiés par Jean Colet en 1530. - Parce qu’il y a aucun laboureur et autres qui ont accoutumé de très mal payer leurs dîmes, j’ai commandement de par monseigneur l’évêque de vous enhorter de par lui et admonester sur peine d’excomuniement que chacun paie bien et totalement se dîmes… Et devez savoir que dieu notre créateur… a commandé sur peine de damnation de payer les dîmes et c’est grand péché de les retenir.

diphtérie

Voir : croup

Disle Geneviève

Institutrice. Succède à France Daunay en 1946. En 1949, elle sera remplacée par Jeannine Lhermey.

dispute

Autrefois, excédé des disputes des ménages, le curé de Rumilly aurait imaginé d’offrir sa vigne au premier couple qui ne serait jamais querellé. Hélas, ce curé est mort depuis bien longtemps ; aucun ménage n’a hérité de sa vigne.

distillation

La distillation des marcs se faisait, il y encore 30 ans, à l’aide de deux alambics. La panse du premier permettait d’obtenir les phlegmes ou petites eaux. Celles-ci étaient ensuite distillées à nouveau dans un second alambic ; c’était la repasse.

Actuellement l’alambic à vapeur permet d’obtenir l’alcool en une seule opération. Les connaisseurs prétendent que la qualité est moins bonne aujourd’hui qu’autrefois.

district

En janvier 1790 on fixe à 83 le nombre des départements. Le département lui-même est divisé en districts. Rumilly appartenait au district de Bar-sur-Seine et au canton de Chappes.

En l’an VIII les six districts aubois furent remplacés par 5 arrondissements.

doléances

Voir : cahier   de doléances.

dommages et intérêts

A la suite du procès des bois, la commune a obtenu 169 206 francs de l’état au titre de dommages et intérêts.

Cette somme a été répartie comme suit :

 - 8 000 francs pour les réparations de l’église

 - 11 206 francs pour travaux divers

 - et 150 000 francs placés à 3% en rente 3%

Actuellement remboursé, ce titre de rente, en 1980, ne rapportait que 45 francs par an pour le budget communal.

don patriotique

Cet emprunt frappait, en 1789, tous ceux dont le revenu excédait 4 livres. Ceux-là étaient tenus de verser à ce titre le quart de ce qui dépassait cette somme.

Nicolas Parent offre, pour se libérer la finance de son office d’avocat qui se monte à 1200 livres ainsi qu’un contrat de 32 livres de rente sur l’hôtel de ville   .

donateurs

Les donateurs d’une œuvre d’art étaient très souvent représentés au pied de la statue ou sur le vitrail qu’ils offraient pour l’embellissement d’une église.

Ainsi Jean Colet prie-t-il à genoux, tout à droite du retable qu’il a offert à ses paroissiens ; il est aussi présent sur la plaque de consécration au portail de l’église.

Jean de Gand et sa femme, leurs fils et leurs filles semblent les seuls rescapés d’un vitrail de la chapelle Saint-Claude qu’ils ont offert à l’église en 1530.

D’autres donateurs non identifiés sont sculptés au pied de certaines statues comme celle de sainte Barbe, à l’extérieur de la tourelle du clocher, ou peints sur des vitraux tel celui de saint Martin dans le chœur de l’église.

Quand les donateurs ne sont pas en portrait, leur nom est parfois mentionné en un cartouche qui accompagne l’œuvre offerte. Ainsi les Colet (toujours), Naudin, Guillaume. Ils sont souvent aussi présents, grâce à leurs armoiries.

douches municipales

Elles ont été créées en 1957 dans l’aile sud du groupe scolaire. Elles comportaient 6 cabines

L’installation, tenu par Mme Marie-Jeanne Souèvre, a fonctionné tous les samedis soir et dimanches matin, à la grande satisfaction des habitants.

Vingt ans après, chaque maison ou presque, ayant une salle d’eau, ces douches collectives perdaient de leur utilité. Le local des douches est devenu salle du cadastre et de réunions.

Doulents (Champs…)

Ces champs (de la douleur) rappellent peut-être un ancien cimetière ou tout au moins le souvenir d’une bataille où de nombreux morts furent laissés sur place.

Ils suivent de part et d’autre la Voie Pousse. Le cadastre les orthographie improprement Champs Poulents.

 - En 1616 Nicolas Milon, tailleur d’habits, a laissé un quartier de terre lieudit les champs Doulans qu’il avait acquis de Me Louis Duval lieutenant en la prévôté de Rumilly   .

douleurs

Contre les douleurs ou rhumatismes, on fait boure des racines de coupos. Autrement dit on doit, pour être soulagé, boire une infusion de racines de bardane.

drainage

C’est un engin perfectionné guidé par un rayon laser qui permet aujourd’hui de drainer les champs, ceci à l’aide de tuyaux perforés plastiques, enterrés en continu.

Autrefois, le travail se faisait à la main : on utilisait des outils spéciaux et les drains étaient de terre cuite, d’environ 30 cm chacun.

draine

Quand une draine (sorte de grive) chante au faîte d’un arbre, elle annonce du mauvais temps.

drap

Pour accueillir la totalité des invités, les repas de mariage se déroulaient le plus souvent dans une grange ; celle-ci était décorée de branches d’épicéas et de roses en papier.

Un drap tapissait le mur adossé à la table d’honneur, celle des jeunes mariés. Y étaient apposées, en feuilles de lierre épinglées sur le drap, les initiales des deux familles.

drapeau

Un Laguillaumy dit le grand décoré aurait, en 1870, à cheval, pris un drapeau à l’ennemi.

Drodelot

Le conseil de fabrique a confié à ce menuisier la rénovation de plusieurs autels et retables dans les chapelles latérales de notre église. St-Barthélemy et St-Jean en 1740 et les autres, en 1771.

droit canon

Ensemble des règles qui régissent l’église. Jean Colet était expert en droit canonique.

droits féodaux

Voir : privilèges.

Du Brosset

Voir : Chauvet du Brosset.

Dürer

On a dit que cet artiste allemand (1471-1528) avait influencé l’auteur de notre retable Il faut notamment observer, dans le tableau de la résurrection, les soldats endormis ; ils rappellent le style de ce peintre qui fut aussi graveur et sculpteur.

Dutertre Claude

 - Claude Dutertre, laboureur et syndic est désigné par Nicolas Parent, en 1789, pour aller à Troyes élire les quatre représentants du tiers-état à l’assemblée de Paris

 - Claude Dutertre, menuisier, s’engage en 1750, à installer des bancs tant dans la nef que dans les chapelles. Il menuise aussi et met en place les stalles du chœur.

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