G7

La parcelle G7 est située à droite de la route  qui mène à Jully-sur-Sarce. Elle contient 9,17 ha. C’est tout ce que la commune a conservé de ce qui lui avait été attribué lors  du partage de la plaine de Foolz en 1852.

Lors de ce partage, une lettre a été attribuée à chaque commune usagère. A Virey le A, le B à Jully, jusqu’à I pour Fouchères. D’où l’origine de cette dénomination G7.

gabelle

Impôt sur le sel supprimé en 1790

Gabiot Joseph Vincent

Chanoine du chapitre de Foix, il est élu à Bar-sur-Seine le 8 mai 1791 et entre à l’église de Rumilly le 15 mai de la  même année. Il    jure de veiller avec soin sur le troupeau dont le salut lui a été confié ainsi que soumission  et fidélité à la loy et au roy   .

En l’an II, on le loge au presbytère qui devient en même temps le siège de la municipalité.

Après l’incendie du 22 germinal an VI, il sacrifie son argenterie personnelle pour les premières réparations à faire à l’église.

Renié par l’autorité religieuse et ce malgré le dévouement dont il a fait preuve envers ses paroissiens et son église, il sera expatrié et finira ses jours curé de Javernant.

garde-champêtre

Les 30 floréal an X, on nomme 3 gardes-champêtres chargés de surveiller les emblaves et les arbres.

En l’an XI on fixe leur traitement : un boisseau de blé par laboureur ou par manouvrier ayant récolté, plus 50 centimes par pied d’arbre portant échelle et 1,50 franc par arpent de vigne.

Vers 1810 Marc Maladière, après avoir pendant 13 ans servi la République et l’Empire, borgne et boiteux, partage avec Pierre Cadet, la charge de garde-champêtre.

garde nationale

La garde nationale s’organise à Rumilly dès 1791. Ses membres sont choisis parmi les 196 citoyens et fils de citoyens capables de porter les armes   .

En 1848, son capitaine se nomme Étienne Rousselot. Le maire Guyot enjoint à ce chef de corps de rassembler ses hommes ainsi que les pompiers pour assister à un service funèbre en mémoire des victimes qui, dans les journées du juin, ont succombé en défendant l’ordre et la loi.

gargouilles

Les gargouilles de notre église sont remarquables notamment celles qui ornent la façade et  celles qui regardent le nord.

Ce sont généralement des animaux fabuleux, pourvus d’ailes, gueule grande ouverte, portant barbiche et griffes. Quatre d’entre elles arborent sur la poitrine ou enserrent entre leurs pattes les armes de Jean Colet.

Les gargouilles qui émergent à hauteur des visages de l’archange Gabriel et de la Vierge sont de dimensions réduites ; elles expriment d’une manière fort impressionnante le dégoût qu’elles ont à déglutir ce qui ne doit pas souiller le temple de Dieu.

Point de gargouilles travaillées du côté sud. Jean Colet a-t-il, quand il les a fait installer, manqué de subsides ou bien a-t-il estimé qu’il n’était pas nécessaire d’orner spécialement ce côté de l’édifice qui n’était pas directement exposé à la vue des fidèles ?

Gatelier Edme

Maître d’école choisi en 1752 par l’assemblée des habitants qui s’engagent à lui payer chaque année : les laboureurs un demi boisseau de blé-froment et un demi boisseau de seigle, les manouvriers chacun 12 sols et les femmes veuves 6 sols.

Ces redevances étaient levées à la diligence du syndic.

Edme Gatelier est remplacé en 1759 par Pierre Sardin.

Gaugué André

Originaire de Vaudes mais ayant son lieu de travail en forêt de Rumilly, membre des FTP Arrêté et déporté, il a connu Auschwitz et Buchenwald. Décoré dans l’ordre de la légion d’honneur.

Gauthier Eugénie

Elle prend possession de l’école des filles, à côté de l’église, en 1904. Elle restera en fonction pendant 20 ans et prendra sa retraite à Rumilly.

Gavelle Émile

Originaire du domaine de Changy (sur la route de Jully) il est l’auteur d’une Notice archéologique sur l’église de Rumilly  dans laquelle il a notamment étudié le retable dans ses moindres détails.

gazoduc

Lors de l’arrivée du gaz dans notre région en 1977, chacun a pu suivre les travaux de creusement de la tranchée d’enfouissement de la conduite.

A cette occasion il était possible de vérifier qu’aucun « souterrain » n’a été mis au jour, qui aurait pu comme la légende l’affirme, relier le manoir au château de Chappes.

Le trajet de cette conduite est aisément repérable d’est en ouest, grâce aux pupitres jaunes, numérotés, qui le jalonnent.

gel

 - Tout ce qui est rentré Ne craint pas la gelée. Il vaut mieux prendre ses précautions avant qu’il ne soit trop tard.

 - S’il gèle à Carnaval  Pas d’herbe pour le cheval. L’année risque d’être une année de mauvaise récolte.

gémination

En 1932, le conseil municipal demande que soient géminées les deux écoles c’est-à-dire qu’avec les garçons et les filles réunis, on puisse connaître une classe pour les petits et une pour les plus grands. Refus.

En 1935 c’est l’administration qui le propose et le conseil, par réaction, n’accepte pas.

En fin de compte, c’est en 1939 que le changement s’opère vu l’afflux des élèves et leur intérêt bien compris.

généalogie

Les familles les plus anciennement connues à Rumilly semblent être, d’une part la famille Naudin dont on retrouve mention en un vitrail de l’église et d’autre part la famille Bazin, et encore la famille Lamblin.

Ces trois patronymes sont présents dans les registres des baptêmes, mariages et inhumations depuis le XVIIème siècle jusqu’au début du nôtre.

Les noms des Colet, Degand, Hamet, connus à Rumilly au XVIème siècle, se sont progressivement éteints. Les Vuibert n’y sont apparus qu’au début du XVIIIème  siècle mais, en revanche, s’y sont considérablement développés.

sainte Geneviève

On a donné le nom de cette sainte à la fontaine située non loin de Chaussepierre. Cette source cependant n’a jamais été appelée que « la sainte » sans référence à quelque saint du calendrier que ce soit.

La statue située dans le transept nord de l’église, accompagnée d’un mouton et qui tient un dragon enchaîné à ses pieds, serait plutôt une ste Geneviève qu’une ste Marthe.

gens de guerre

 - 1595 Le curé Payn se plaint qu’on ose loger chez lui des gens de guerre.

 - Le roi Henri IV, par lettres patentes, accorde au village de Rumilly, de n’être point soumis à l’hébergement des gens de guerre. (Parchemin signé quelques jours avant qu’il ne soit assassiné)

François Gentil

Sculpteur né à Troyes au début de XVIème siècle. On lui a attribué, certainement à tort, l’ensemble des statues adossées aux piliers de l’église ainsi que celle du christ au-dessus du portail.

gerbes

Avant 1900, on confectionnait les tas de gerbes de blé traditionnellement toutes de la même façon. Deux gerbes tête de l’une contre la tête de l’autre. Puis deux autres, de même à côté. La cinquième et la sixième venaient, de part et d’autre, étayer ce tas de quatre.

Germains

Après avoir vaincu les Barbares venus d’outre Rhin, les empereurs romains en ont fait déporter des colonies entières pour aider à l’exploitation de certaines contrées dépeuplées de la Gaule.

Il n’est pas impossible que des Germains se soient installés à l’orée de notre forêt : Wald en allemand. Ils nous auraient laissé le nom de Vaudes qu’on trouve d’ailleurs écrit parfois Vauldes.

gigouillette

 - Les campagnes d’ Afrique - J’en ai plein le dos. - On y marche vite - On n’y boit que d’l’eau.

Ce sont les paroles qui accompagnaient la danse pratiquée par nos grands-parents.

pré Gilot

1663 - Un quartier de terre lieudit le Pré Gilot… d’un bout au chemin des Charbonniers   .

girouette

A signaler, non loin du manoir, la girouette récemment rénovée à l’identique du charron-vigneron.

droit de gîte

C’est le droit qu’avait le seigneur d’être reçu et hébergé par celui qu’il avait sous sa garde.

saints de glace

Les saints Mamert, Pancrace et Servais (11, 12 et 13 mai)  sont des saints dits  « de glace »  et par conséquent redoutés pour les gelées matinales qu’ils amènent avec eux.

glandée

Droit qu’achetaient les habitants et qui leur permettait  de mener leurs porcs en forêt pour qu’ils s’y nourrissent de glands.

glas

Le glas est sonné aujourd’hui électriquement et de façon uniforme ; il n’en était pas ainsi autrefois.

Pour les hommes, la grosse cloche sonnait en volée et alternait avec les deux autres qui tintaient chacune leur tour. Pour les femmes c’était la moyenne qu’on sonnait à la volée. Quand il s’agissait d’un vieillard, on heurtait successivement la grosse, la moyenne et la petite. Pour un enfant, seules la grosse et la moyenne tintaient l’une après l’autre.

Sur l’air du glas, on pouvait entendre : Le corps est mort, l’âme n’y est pas.

Jules et Edmond de Goncourt

Les Huot de Goncourt étaient parents des Labille propriétaires du manoir depuis la Révolution. et les Henrys habitaient la Grange aux Dîmes.

Pierre Huot de Goncourt et Virginie Henrys eurent trois enfants : Jules, Edmond et Bathilde. Les relations qui existaient entre les deux familles firent que Jules et Edmond, enfants, connurent Rumilly où ils venaient fréquemment, Edmond depuis 1848 et Jules depuis 1853.

En souvenir de leurs passages à Rumilly, ils nous ont laissé une nouvelle. L’ex maire de Rumilly prétexte à se moquer d’un personnage aux moeurs très particulières, une occasion surtout de très joliment parler de notre village.

Linard Gonthier

Deux peintres verriers célèbres portent ce nom et le même prénom. L’un d’eux a travaillé pour l’église de Rumilly.

A été payé à Linard Gonthier md vitrier demorant à Trois  la somme de quarante livres tournois pour avoir racoutré les verrières de la dicte église  comme appert par  la quittance du 8 juillet 1615 : 10 livres .

gorge

Voir : maux de gorge.

Goriot

Prêtre, il seconde le curé Navarre en fin d’année 1789 et début 1790, avant que soit élu à la cure de Rumilly, Joseph Vincent Gabiot.

le Gouffre

Le Gouffre se trouve à l’angle sud-ouest de la route de Fouchères et du chemin des Crollières.

A l’est du Gouffre on trouve « Au-dessus du Gouffre ».

gourde de moisson

Les moissonneurs emportaient aux champs leur boisson dans des gourdes en terre appelées « crapauds » du fait de leur forme aplatie.

On peut trouver figuration de tels récipients représentés avec des tonnelets autour d’une gerbe de blé, sur certains carreaux vernissés qui pavent encore les bas-côtés de l’église.

Goussin Étienne

élu maire en1900, il démissionne l’année suivante pour laisser la place à Alexandre Dart.

grand-duc

Voir : chouette.

grange

On appelait grange l’ensemble d’un domaine agricole sur lequel étaient détachés un certain nombre de moines, chargés de son administration.

La grange comportait, outre une maison d’habitation, de vastes communs et spécialement d’amples greniers.

Thomasse le Gras

Voir : sœur Benoît.

Gravière (chemin de la ...)

On appelle ainsi le court chemin qui joint la route de Lantages et celle du Long-du-Bois ; ses deux ponts enjambent l’Hozain et la fausse rivière.

Gravière (pont de la ...)

 Il supporte le chemin du même nom sur la fausse rivière. Propriété particulière, héritée des moines de Molesme, il est passé dans le domaine public et le propriétaire a reçu en échange le terrain situé entre la route et le cours d’eau.

gravières

On appelle ainsi les carrières dites aussi « trous à grève » dans le sol desquelles on exploite le gravillon destiné notamment à la fabrication du béton et à l’empierrement des chemins.

greffier

Avant la Révolution les greffiers assuraient la rédaction et l’enregistrement des actes officiels pour le compte du roi et de l’abbé de Molesme.

En 1789, le greffier se nommait, comme par hasard Joseph le Roy. C’est Étienne Guillemard qui a pris sa place en la mairie de Rumilly avant de devenir secrétaire-greffier de la justice de paix à Chappes. En 1792, l’ancien curé Gabiot est nommé à ce poste.

Par la suite, le greffier n’a plus été nommé que secrétaire de mairie et la charge assurée le plus souvent par l’instituteur.

grêle

Les vitraux de notre église ont été regroupés dans les verrières du côté sud afin d’y être plus à l’abri des orages et de la grêle. C’est pourtant un vitrail situé de ce côte, la grande verrière du transept, qui a été endommagé par des grêlons en 1866.

grenouille

 - Afin que les grenouilles ne coassent de l’année, il fallait le soir de Carnaval, aller verser une casserole de bouillon gras dans la mare où elles avaient élu domicile .

 - Quand la grenouille fait entendre son cra, cra, cra, elle annonce le beau temps.

Voir : droit d’estagier.

les Grèves

Ce lieudit se trouve en contrebas de la voie aux Ânes, au nord de celle-ci, avant sa rencontre avec la voie des Prés.

gril

Le saint Laurent de la chapelle du même nom, tient dans sa main un gril, instrument de son supplice.

grilles

 - Il existait des grilles à l’entrée du chœur de l’église comme en témoignent les deux marques en quart de cercle encore visibles entre les stalles. Le curé Degand les a fait réparer en 1831. On ne sait à quelle date elles ont disparu.

 - Les grilles qui bordent sur la rue, le parc du manoir datent de 1911. Elles ont été entièrement rénovées et allégées, en 2004.

gros

Revenu d’une cure.

1707 - L’abbé de Molesme, en qualité de gros décimateur de la paroisse de Rumilly, paie annuellement au curé de la dite paroisse un gros en grains consistant en onze setiers et demi de froment et onze setiers d’avoine, le tout à l’ancienne mesure de Troyes, ce qui fait 184 boisseaux de froment et 176 boisseaux d’avoine attendu que le setier de grain de Troyes contient 16 boisseaux.

groupe scolaire

Le groupe scolaire comporte 4 salles de classe et une petite salle annexe. Les premiers élèves y sont entrés en septembre 1957. Une classe maternelle y a été créée en 1975. Il fonctionne actuellement en  R.P.I. (regroupement primaire intercommunal) avec Vaudes et accueille classe maternelle et cours préparatoire.

Le chauffage central est assuré grâce à une chaudière fonctionnant au fuel, laquelle dessert aussi les 3 appartements qui occupent un bâtiment distinct de classes. Ce dernier comporte, outre le préau de l’école, un garage pour la motopompe, une salle réunions (anciennement douches municipales) et le secrétariat de mairie.

gruerie

C’était comme un tribunal de police correctionnelle établi dans le domaine du seigneur en vue de juger des délits forestiers. Les gardes des bois étaient à la fois témoins, rapporteurs et juges. Par là, ce tribunal pouvait tomber dans la complaisance, dans l’arbitraire, au détriment du pauvre monde.

En 1738, Eme Jolly était bailli gruié à Rumilly.

Guérapin de Vauréal

Louis Guérapin de Vauréal était abbé de Molesme en 1723. Il portait d’or au lion de sable tenant une hache de gueules,à la bande d’azur semée de fleurs de lis d’or.

On le disait le plus bel homme de la cour. On racontait de lui quelques aventures galantes dont l’une eut un fâcheux ressentiment et fit chansonner avec lui Mme de Poitiers qui, de dépit, chassa sa femme de chambre pour n’avoir pas suffisamment tiré les portières .

guerre de 1870

Rumilly fut occupé à deux reprises : 800 Allemands y passèrent le 13 novembre 1870 et 250 soldats y furent hébergés et couchés au début de mars 71.

Par ailleurs, la commune dut débourser 24 800 francs pour satisfaire aux besoins de l’occupant. C’est le maire qui était  désigné responsable de  la dette communale ; il devait en percevoir le montant auprès de chaque habitant quitte à retenir 3% pour ce service. Cette offre avilissante a été rejetée par le conseil municipal qui… a préféré recourir à l’emprunt ; 48 habitants ont répondu à son appel en souscrivant des sommes allant de 100 à 2000 francs.

Les Prussiens ayant, en 1871, exigé une nouvelle contribution égale à la première, un nouvel emprunt a été décidé qui a frappé pour les trois quarts de la somme les contribuables les plus imposés et dont le dernier quart a été prélevé sur les fonds libres communaux.

Le 13 novembre 1870, à Chaussepierre,  une enfant de 4 ans que sa maman portait à bras a vu les Prussiens qui arrivaient par les prés. Un homme était à la ferme, qui s’était enfui. Les ennemis, voyant sa photographie questionnent ; on prétend qu’il est décédé.   Malhour, articulent les soldats.

Ce jour-là, chaque ménage a dû porter en mairie le pain de miche destiné à nourrir l’occupant.

guerre de 1914-1918

Le monument aux morts érigé devant le manoir témoigne de la part que les Rumillions ont pris à ce conflit. Un tableau, en l’église le rappelle également qui donne aussi les noms de ceux d’entre les habitants qui sont morts au champ d’honneur.

A ce listes, gravées sur les flancs du monument, il faut ajouter quelques noms de soldats, nés à Rumilly mais n’y résidant probablement plus, pour ceux desquels les lieux de décès : Fleury-Douaumont et Bois-le-Prêtre évoquent douloureusement l’horrible aventure.

L’un de nos compatriotes semble avoir eu, dans son malheur, plus de chance. Gabriel Dart aurait été enterré par un obus tombé non loin  de lui. Une seule main lui restait libre, qu’il enfonçait dans sa bouche pour essayer de s’étouffer. Entre temps, il ne pouvait que crier  "maman". Ce sont ses cris qui l’ont fait découvrir par ses camarades de combat.

gui

En forêt de Rumilly, il existe des chênes à gui. La touffe de gui que portait le chêne de Nicey, à quelques mètres de la route départementale, à disparu il y a quelques années probablement faute d’avoir été bien nourrie par l’arbre qui la portait.

guidon

Officier porte drapeau. Charles Boucherat a été nommé guidon en 1693.

Guillaume

Il a été prieur de la maison de Molesme à Rumilly, en 1693.

Les religieuses de Jully lui offrirent d’autorité la place de chambrier. Christophe, abbé de Molesme, qui n’avait pas été consulté, refusa et lança contre les religieuses une sentence d’excommunication.

Guillaume Jehan

Prêtre, licencié, chanoine et official de Troyes, il fut le prédécesseur de Jean Colet près de l’évêque. C’est lui qui, en 1532, donna la verrière St-Martin située au deuxième niveau, à droite du chœur.

la haie Guillier

A gauche de la route qui conduit à Fouchères, entre le chemin de la Vieille église et la voie Pousse.

1667 La haie Guillé .

En 1812 la Butte et la haie Guiller sont ravagées pas les eaux, les récoltes sont perdues. On propose qu’un fossé soit ouvert à l’endroit  qu’on appelle le Gouffre, qu’il descende le long du chemin de la haie Guillier, pour aboutir au fossé de la pièce de la Varie.

Guyette

Serve du village. En 1235, elle désire épouser Pierre, de St-Parres ; l’abbé de Molesme lui accorde son autorisation contre versement de la somme de deux sous.

Guyot Romain

Il est nommé maire par arrêté du préfet en 1837. En 1848 il démissionne et laisse le fauteuil à Jacques Eugène Paillot.

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