la

De nos trois cloches, la plus petite sonne le la. Elle se nomme Marie éloïse et on l’a placée sous le patronage de la Vierge.

Elle pleure les défunts, anéantit la foudre et solennise les fêtes. - Defunctos ploro, tero filgura, festa decoro.

labarum

Bannière que les Romains portaient à la guerre. Sur le retable, le Christ ressuscité tient en sa main gauche le labarum signe de sa victoire sur la mort.

Labille Mathilde

Née en 1803, elle est fille de Pierre Huot de Goncourt et de Virginie Henrys. Elle a épousé Léonidas Eugène Labille. Ceci explique les liens qui unissaient les Goncourt aux Labille.

Labille Claude

Seigneur de la Rocatelle et amodiateur de la seigneurie de Rumilly, il décède en 1781 âgé de 62 ans. Il laisse son domaine à Étienne Charpy son gendre.

Labille Nicolas François

Procureur au cy devant parlement de Paris, il acquiert le manoir en 1791.

laboureur

C’est ainsi qu’on appelait un cultivateur avant la Révolution.

En 1772    s’obligent à païer au maître d’école, les laboureurs un boisseau de bled froment et les demi-laboureurs (c’est-à-dire ceux qui labourent depuis cinq jusqu’à dix arpents) un demi boisseau aussi de froment, le tout bon grain loïal et marchand à l’ancienne mesure   .

En l’an VI un laboureur, Jean Joseph Vuibert possédait 5260 cordes de terres labourables, 1333 cordes de pré et 40 cordes de vignes ce qui, avec le sol de sa maison et l’enclos attenant, correspondait à environ 33 hectares.

laïques (lois…)

En 1881 après avoir décidé la gratuité de l’école et fixé le traitement de l’instituteur à 1100 francs, le conseil municipal admet que l‘école libre pourra subsiste puisqu’elle fonctionne sans subvention de la commune.

Il n’envisage donc pas de construire une école communale pour les filles.

Un an plus tard cependant, il projette de louer l’immeuble Lutel pour y loger l’école laïque des filles.

laisse

C’est l’intervalle de temps qui s’écoule entre le début et la fin d’une sonnerie de cloches. Sonner 3 laisses, par exemple, veut qu’on arrête deux fois la sonnerie.

C’était autrefois, lorsque les cloches étaient mues à la main, l’occasion de boire un coup.

laitiers ou poivros

Ce sont les lactaires poivrés.

   Pour les consommer, on en coupe la queue et aussi une couronne autour du chapeau. On les laisse saigner dans une assiette.

On les pose ensuite sur le gril avec un grain de sel ; on les retourne afin qu’ils finissent de jeter leur lait.

Puis on les fait frire dans la poêle   .

Lalore (chanoine..)

Il a été spécialement désigné par l’évêque Cortet pour une visite canonique des reliques en l’église de Rumilly.

On lui doit (1886) :

 - une transcription de la bulle de 1493

 - la description de l’église

 - et l’inventaire des reliques scellées dans chacun des autels.

Langue (pré de la…)

Il s’agit là de la contrée comprise entre l’Hozain et la voie des Prés, jusqu’au pont de l’Hozain qui permet de rejoindre Chaussepierre.

1685    lieudit la Langue, près le gué du Marot… d’un bout sur l’Ozain   .

lapins

On recensait 988 lapins à Rumilly en 1892.

larrons

On les aperçoit sur le tableau de gauche du retable qui montent vers le lieu de leur supplice.

Au panneau central, ils sont représentés attachés à leurs croix ; le bon larron a le regard tourné vers le Chris ; il s’élève avec lui, comme le soleil levant. L’autre détourne la tête ; c’est la nuit qui vient.

latitude

Latitude nord. Celle de Paris plus 1° 50’ 37’’  soit 49° 59’ 28’’

latrines

Voir : cabinets

laumée

La laumée est une sorte de graminée très fine de tige, d’environ 1 m de haut, qui croît dans les endroits humides de la forêt. On en confectionnait des paillotes sur lesquelles séchaient les fromages.

La flore la nomme molinie.

Laurent (saint…)

Saint Laurent a une chapelle en notre église, la première à gauche, en entrant. L’autel, son retable et la statue de bois qui représente le saint avec, en main l’instrument de son supplice, sont attribués à Drodelot. (1771)

laurier

   Le prêtre en donnait, en même temps que le buis bénit des Rameaux (probablement pour un même usage). Ce laurier était offert par les Sourdat, propriétaires du château de la Motte   .

lavoirs collectifs

Rumilly a connu plusieurs lavoirs. Celui de Nicey construit de bois, sur la mare, était vétuste ; il a été démoli dans les années 80. Un autre, élevé vers 1950 lieudit les Îles lui aussi en ruine, a été supprimé.

Le plus important des lavoirs communaux avait été construit en 1866 en avant de la place de la Bourriquette. Les planches à laver qui traversaient le bassin dans le sens de la largeur reposaient sur un bâti métallique que deux énormes écrous à oreille situés en aval et en amont pouvaient à volonté monter ou descendre selon que les eaux de l’Hozain étaient à leur maximum ou au plus bas.

lavoirs individuels

Les lavoirs individuels installés sur la rivière ou au bord d’une mare consistaient en une large planche soutenue par des piquets, lancée perpendiculairement à la rive, au départ de laquelle la laveuse s’installait, à genoux dans son triolo.

Le Bégat

Bernarde Le Bégat était la femme de Jean de Gand, seigneur de la Motte.
Dans la chapelle saint Claude, elle est représentée derrière son mari, accompagnée de leurs 6 filles.

Ses armes, enfermées dans un losange, sont de sable à la croix engrêlée d’argent avec une étoile à six branches d’or au canton dextre du chef.

Le Boucherat

Voir :Boucherat. 

Ledoux (Mlle…)

Elle a assuré le remplacement de M. Menneret, instituteur mobilisé dès 1914 et ce jusqu’en février 1919.

Voir : Menneret

Léger (le clos…)

1768    lieudit le clos Léger tenant… d’un bout sur l’Ozain   .

légion d’honneur

Ont été admis, à Rumilly, dans l’ordre de la légion d’honneur : Luce Balson, commandant du fort de Ham (1821) - François Cornu décédé en 1890, beau-père de Victor Paillot - André Gaugué, résistant déporté (1982) - Gabriel Mathurin ancien combattant de 14-18 (1968) - Léa Schwartz épouse Renaud, déportée (officier en 1987).

Legrand Yvonne.

épouse Mansuy, institutrice de 1957 à 1966.

Le Gras Thomasse

Voir : Benoit. 

légumes

Les légumes autrefois couramment consommés étaient les pois ou haricots secs, les pommes de terre, les choux, les navets et les oignons.

Lemaire François (1)

François Lemaire est nommé instituteur à Rumilly, le 30 thermidor an II. Outre sa classe, il s’engage à conduire l’horloge et sonner l’angélus. En l’an IV, on s’aperçoit qu’il ne donne pas satisfaction et on lui préfère Georges Collet.

On constate à nouveau, le 8 brumaire an VI que Lemaire est hors d’état de remplir les fonctions d’instituteur alors que la classe ouverte par G. Collet compte 42 élèves.

Le 8 floréal an VI, on propose l’exclusion de Lemaire du logement de l’école qu’il a jusque là continué d’occuper.

Lemaire François (2)

Il succède à la mairie, à Jean Joseph Vuibert démissionnaire. Il y est nommé par arrêté du préfet en date du 1er février 1811. Il prête le serment prévu par la constitution de l’Empire.

Il est confirmé dans ses fonctions en 1815 avant que Jean Frappier le remplace en 1816.

Lemaire Romain Joachim

Ancien juge de Paix du canton de Chappes, il assure en l’an XI, le secrétariat de mairie de Rumilly.

lèpre

La Maladière est peut-être ce lieu où on confinait les ladres ou lépreux de Rumilly. A moins que le revenu de cette terre n’ait été affecté à l’entretien d’une autre maladrerie.

Jean Colet a rappelé dans les statuts synodaux de l’évêque Hennequin, les règles qu’il convenait de suivre avec les lépreux C’est la manière de recevoir le ladre et le mettre hors du siècle et le rendre en sa borde.

Lerouge Étienne

Héritier du curé Henrion. De lui, en 1789, dépend le bon fonctionnement de l’école des filles gratuite du fait des libéralités du défunt curé.

lés (préposition)

Rumilly, depuis la réunion des états généraux de 1308 qui eurent à différencier les 22 Rumilly, Remilly, Romilly, du royaume, a été appelé Rumilly-lez-Vaudes, Rumilly-lés-Vaudes, Rumilly situé près de Vaudes. Un accent sue le é de lés est donc indispensable. L’usage (et les dictionnaires) tendent à ce que soit un accent grave mais un tel accent entérine une mauvaise prononciation. Il semble plus raisonnable de choisir l’accent aigu pour respecter la façon de prononcer la préposition lez.

lessive

 - On coulait parfois dix draps à la fois, dans un grand cuvier sur trépied, au fond duquel, par-dessus quelques ramilles, on avait enfermé dans un fleurié de chanvre, des cendres de bois blanc.

L’au chauffée dans l’âtre était versée sur les draps à l’aide d’une poche à long manche.

Dans une gerle, au bas du cuvier, coulait le léchu abreuvé de la potasse des cendres ; on le réchauffait et on le versait, un peu plus chaud chaque fois, sur le dessus du cuvier.

A la fin de l’opération, les draps étaient portés au lavoir ou à la rivière où ils étaient frottés, battus et rincés avant d’être mis à sécher.

 - Pas de lessive pendant la semaine sainte de crainte que ça ne fasse mourir le mari.    On n’aurait pas lavé une guenille le vendredi saint. On ne gardait même pas le léchu ce jour-là   .

lettres patentes

écrit émanant du roi et qui confère un droit ou établit un privilège.

C’est le cas de l’acte signé par Henri IV qui exempte le village de Rumilly du logement et de l’entretien des gens de guerre.

Lhermey

Voir : Vuibert   Janine

licite (prix…)

Cette obligation de ne pas vendre certains produits au-dessus d’un certain prix dit licite, était en vigueur pendant l’occupation, après la guerre de 39-40.

A ce moment, la vente des coupes affouagères se déroulait en mairie. Le règlement était bien entendu respecté. Ce qui n’empêchait qu’un don puisse être déposé chez le receveur municipal pour compléter le prix de l’adjudication.

Liébaut

Cet homme avait en charge, en 1104, le château du comte de Champagne à Rumilly.

lieutenant

C’était le titre du délégué du bailli en la prévôté royale de Rumilly.

Quelques lieutenants : Louis Duval (1618) - Jean Lemaire (1680 -1691) - Charles Lamy (1693-1705) - Charles Bertrand (1715-1720) - Edme Jolly (1726-1757).

lieux-dits

Les lieudits d’un village comme le nôtre (ceux que nous connaissons encore et ceux que nous livrent les textes) nous sont précieux par les indications et les souvenirs qu’ils nous apportent tels la Herse,   le pré Gendarme,   le chemin de la Vieille église.   On trouvera mention de chacun d’eux à sa place alphabétique.

Liévin

C’est le héros d’une merveilleuse histoire qui se serait déroulée en notre région au début du XVIème siècle. Ce maître-verrier, né de l’imagination d’un polytechnicien à la retraite, serait passé à Rumilly en 1539, y aurait été reçu par l’abbé de Molesme ( ?) et serait allé rendre visite à Jean Colet devant la grande verrière du transept sud.

lièvre

Le lièvre trace son chemin en broutant l’herbe au fur et à mesure qu’il avance. Il fait ainsi une chalée. On distingue la chalée de la femelle par le fait qu’elle est tondue à 5 cm du sol au lieu de 10 cm pour le mâle.

limace

Voir : tuberculose

lion

Cet animal, attribut de Marc, l’évangéliste, est peint sur l’un des écussons fixés à la clé de voûte du transept de notre église.

On peut voir aussi sur le chapiteau d’une colonne du manoir, un angelot à cheval sur un lion et qui joue avec lui.

lis

Des pétales de lis conservés dans l’alcool et appliqués sur une plaie permettaient à celle-ci de cicatriser rapidement.

lis (fleurs de…)

Les fleurs de lis, emblèmes de la royauté, sont particulièrement présentes à Rumilly bien que mutilées ;

Elles ont été tailladées, peut-être à la Révolution mais aussi en 1906 lorsque cette demeure est devenue mairie-école.

Lors de cette opération, l’écusson royal qui surplombe la porte d’entrée, à l’extérieur a été cassé ; il n’en reste que la moitié.

litre funéraire

Sous la croix de consécration, au pied de chaque apôtre des piliers, on peut distinguer les armes de Jean Colet, bordées de noir. Il s’agit d’une litre funéraire peinte en la mémoire du curé bâtisseur.

Contrairement aux litres habituelles (armoiries du défunt sur une large bande de couleur noire,) celle-ci est d’une discrétion qu’il nous faut apprécier.

location du manoir

Les abbés de Molesme, après la mort de Pierre Pion, n’ont pas occupé le manoir dont ils avaient l’intention d’en faire leur demeure abbatiale. Ils l’ont donné en location.

En 1786, il était exploité par Nicolas Nérot, marchand boucher moyennant 6620 livres de loyer avec la réserve que ce locataire s’oblige à recevoir le fondé de pouvoir du seigneur abbé quand celui-ci aura besoin de se rendre à Rumilly.

loge

On appelle loge, la cabane construite en forêt par les bûcherons et qu’ils occupaient pendant l’hiver.

Bâtie de fourches et de rondins, confortée de fougère et de terre, elle abritait le lit et sa paillasse ainsi qu’un poêle à deux trous avec une table et des sièges rustiques.

logement

Quand il offre en 1104, sa terre de Rumilly à l’abbé de Molesme, le comte de Champagne se réserve un homme, Liébaud   et sa famille qui seront chargés de l’accueillir en son château quand il y viendra passer  la belle saison.

-         1786 Bail du manoir. Sera tenu le dit adjudicataire de recevoir et loger dans le château de Rumilly, trois ou quatre fois par an, pendant 3 ou 4 jours chaque fois, le fondé de pouvoir dudit seigneur abbé et de le pourvoir en nourriture pendant ce temps, lui, ses domestiques et ses chevaux.

Voir Henri  IV

Long-du-Bois (le…)

Ce hameau de Rumilly² doit son nom à ce qu’il côtoie la forêt. Autrefois appelé Auprès-du-Bois ou Au-long-du Bois

Long-du-Bois (croix du…)

Sur la route du Long-du-Bois, à l’entrée du hameau, une croix a été élevée à la mémoire de François Henriot et élise Maître son épouse.

Elle a été restaurée dans les années 1950 par un habitant du hameau qui a, sur le même socle, remplacé la croix de fer vétuste par une simple et robuste croix de bois.

Longin

C’est le cavalier qui, sur le tableau central du retable, pointe sa lance (mutilée) vers le flanc du Christ.
La légende dit qu’il était presque aveugle, que le sang de Jésus coula sur ses mains et sur ses yeux et qu’il en recouvra la vue.

longitude

Rumilly : 1° 50’ 51’’

Longues Raies (les…)

Formé autrefois d’étroites et longues parcelles, ce lieudit est actuellement occupé par d’anciennes carrières de sable transformées en trous à pêche.

louée des prés

Elle se faisait traditionnellement à la saint Jean d’été.

Louis de Lorraine

Évêque de Troyes de 1545 à 1550, c’est lui qui, assisté d’André Richer évêque in partibus, présida à la consécration de l’église de Jean Colet les 22 et 23 septembre 1549.

Il avait été nommé évêque à 18 ans ce qui explique qu’il lui ait fallu un suppléant.

loups

 - En 1791 ils s’aventurent jusqu’aux abords des maisons de Rumilly. Pour une peau de loup, on offre une gratification de 7 livres

 - On raconte qu’à la fin du XIXème siècle, un petit loup vint à naître d’une femme. La bestiole s’est très vite sauvée sous le lit où la sage-femme l’a attrapé avant de l’étouffer .

Il s’agit à n’en pas douter d’un enfant mal formé à qui on n’a pas cru bon de laisser la vie.

 - Sur la poutre sculptée du rez-de-chaussée du manoir, un enfant tire la queue d’un loup, face à un chien qui le dévisage. Le loup est le tailleur de pierre raillé par le chien-charpentier.

Louvières (ru des…)

Il se trouve à l’extrême sud de la forêt ; il draine les eaux de cette partie de notre territoire en direction des Loges-Margueron.

Luc (saint…)

En notre église saint Luc est représenté sur le vitrail de la chapelle saint Claude, faisant le portrait de la Vierge. Son emblème, le taureau, est peint sur l’un des écussons de la voûte, en 4ème travée.

Luce (sainte…)

A la sainte Luce (13 décembre - en réalité le 24) les jours augmentent du saut d’une puce.

 - A la saint Thomas de la baillée d’un jars.

lumachelle

C’est une pierre calcaire très résistante qu’on trouve en bancs dans l’argile et qui renferme des quantités de petites huîtres fossiles. On l’appelle aussi pierre bleue.

Avec la lumachelle extraite dans la contrée des Pendants, ont été construits l’église, le manoir et certains pignons de nos maisons.

Des blocs de lumachelle ont été mis au jour lorsque l’installation de l’eau courante a nécessité que l’on creuse des tranchées pour y enfermer les conduites. Cette pierre est commune en notre sous-sol.

luminaire (pré du…)

Il s’agit probablement des prés dont le revenu était destiné à couvrir les besoins de l’église en cierges, huile pour la lampe du sanctuaire, etc.

Le 21 juin 1776 on été délivrés à Jean-B. Tallon et Nicolas Degand, les prés du luminaire pour 9 années à commencer à la fauchaison prochaine à condition d’en abattre les topières, arracher les épines,planter sur la rivière des plants de peupliers et païer annuellement à la fête de saint martin d’yver quatre-vingts livres.

lune

 - La centième heure de la lune, entre la nouvelle lune et le premier quartier, indique le temps qu’il fera pendant toute la durée de la lunaison.

 - Nouvelle lune dans l’eau, trois jours après il fait beau.

Nouvelle lune dans l’beau, trois jours après il y a d’l’eau.  

 - Pour que la salade ne monte pas, il faut la semer en lune de Carnaval.

 - Il faut semer les petites graines à la lune montante, entre le premier quartier et la pleine lune.

 - Pour ne pas que les petits pois aient le ver on doit les semer en pleine lune de mars.

 - En forêt, il ne faut pas couper du bois pendant la lune de janvier ; il risquerait de se piquer (des vers) dans l’année.

   Nouvelle lune le dimanche, au pont la planche    L’inondation guette, qui emportera la planche à laver au fil de l’eau.

Lutel

Pour y installer l’école des filles, la commune loue en 1993, la maison Lutel. Elle n’obtient pas du propriétaire qu’il installe une clôture le long de la rivière mais celui-ci donne l’assurance qu’il fournira une eau de qualité.

Cet immeuble était situé place du Turot.

En 1891, l’école se déplacera vers la propriété Saget, près le carrefour de la route de Lantages et de celle de Fouchères.

lutrin

Pupitre sur lequel sont ouverts les livres de chants à l’église.

En l’an III, les instituteurs qui, jusque là accompagnaient le curé à l’office ne voulaient plus chanter au lutrin.

luzerne

En 1893, le vent du midi a grillé la plupart des récoltes et notamment les fourrages. La deuxième coupe de 10 arpents de luzerne (près de 5 ha) n’a nécessité qu’une seule voiture pour la transporter.

lys

Voir : lis  .

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